Je souhaite un joyeux Noël à tous
Prenez soin de vous
Bonne année
Les voeux sont pour aujourd'hui, les regrets pour demain et les résolutions c'est quand on veut!!
Publié le 17 janvier 2019 à 11:56
Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°75
Avril 2012. Pour mon 65e anniviversaire, mon médecin et le neurologue me diagnostiquent la maladie de Parkinson. Un super cadeau… Abasourdi pendant une dizaine de jours, je me fais à l’idée de prendre l’allopathie qui m’est prescrite quatre à cinq fois par jour ; Modopar 62.5 et 125 mg. Mes tremblements disparaissent.
Après une année, j’ai des contractures, dystonies, excès de salive, hésitation dans mes décisions, y compris au volant de mon véhicule. Mon sommeil est perturbé. J’ai la tête en vrac, Je découvre les souffrances d’un parkinsonien avec la fin du scénario bien morne, annoncé par mon neurologue.
Décembre 2015. J’ai une crise d’allergie qui dépasse l’ampleur des mois précédents : démangeaisons, petits boutons qui se transforment en prurits sur les fesses et cuisses (comme si j’étais tombé le derrière dans les orties), des sensations de brûlures en général après le repas dans une artère fémorale, Consultations diverses dont une me conduira aussi chez le cardiologue. Celui- ci mettra en cause mes Km parcourus chaque matin et mon âge…
Ma méfiance des convictions médicales ainsi que des médicaments de synthèses se renforce parce que je suis déçu du savoir des grands professeurs en dermatologie. Une autre désillusion médicale concernant la bévue d’un calcul important dans le canal cystique de la vésicule biliaire de mon épouse. Opérée d’urgence in extrémis, pour n’avoir jamais diagnostiqué ce problème, suite aux nombreuses consultations chez des spécialistes « renommés » pour des vomissements, perte de conscience pendant plusieurs années. Cette bévue d’irréalisme, me rendra méfiant de la compétence d’un médecin comme d’un garagiste…
À ce rythme, dans quelques temps, je suis dans un fauteuil mais pas au cinéma car j’ai un pied quelque fois qui racle le sol et manque de me faire trébucher lors de la marche rapide du matin.
Une nuit mon esprit frondeur, celui que je préfère et qui m’a accompagné toute ma vie est en éveil. Alors je prends conscience que je suis devenu davantage parkinsonien depuis que je suis sous traitement qui ne sert qu’à gommer le tremblement, bras doit et de la main en particulier.
Le passage à la phytothérapie.
Depuis plusieurs mois, j’avais l’idée de remplacer l’allopathie par la phytothérapie, bref, me prendre en main. Grâce à votre journal, mes connaissances se sont étoffées. Je me suis procuré des ouvrages qui traitent les neurosciences que j’étudie depuis plus de trois années. Encore aujourd’hui, ma conclusion est que cette maladie est créée par l’homme, sauf cas rare, endogène, la qualité de l’environnement dégradée, la nourriture, les conditions de travail et de vie.
Fin décembre 2015
Après avoir reçu le mucuna pruriens je supprime l’allopathie chimique : plus de démangeaisons, les sensations de brulures disparaissent. Je soigne mon intestin.
Maintenant sous Mucuna pruriens dosé à 15 %, gélule de 400 mg avec jus de citron — soit l’équivalence d’une Modopar en 62.5 mg. Je prends 4 gélules par jour aux heures de l’allopathie 7h-10h-17h-22h. Je n’ose pas encore changer les heures d’apport de L‑dopa. Je continue la marche de 6 à 8 km tous les matins, estomac vide, avec la prise uniquement de la L‑dopa mucuna. Une année plus tard, je prends le Mucuna Pruriens en poudre de chez Zumub 1 à 2 gr. (dosée à 15% en L‑Dopa) Puis j’alterne avec le mucuna de Solbia : 1 gélule de 400 mg dosé à 50 % en L- dopa, toujours le matin à jeun.
Depuis début 2017 J’ai remplacé la moitié du mucuna une gélule de Mucuna de chez Solbia associée avec une gélule de L tyrosine de chez Vitall +. Également associé d’une gélule de N- Acetyl-cystéine de chez SuperSmart.
Au petit déjeuner : Un œuf à la coque et porridge de sarrasin 40 gr avec huile de noix de coco (2 à 3 cuillères à café). Une gélule de coenzyme 10. Sans oublier 8 amandes, 3 noix d’Amazonie, fruits secs comme les abricots bio et raisins. Trois tasses de café filtre, léger (bio pur Arabica).
J’ai évidemment changé toute mon alimentation : régime méditerranéen (sans la tomate,) – ce qui cause beaucoup de tracas à mon épouse.
J’ai choisi une nourriture dédiée à mon cerveau comme les abats comme rognons, foie de veau. Poissons, maquereaux, sardines. J’équilibre les aliments dont je sélectionne les plus alcalins, moins oxydants, huitres ou moules de l’atlantique une fois par semaine, et compléments alimentaires. Un cocktail de vitamines B2, B3, B6, B9, B12, A et E. Fer uniquement par l’alimentation car trop de fer est oxydatif. Zinc en cure de deux semaines par trimestre. Chaque soir 2 gélules de Balcona Monnieri.
Aout 2017 Parki m’a laissé tomber (sans doute écœurée par mon régime) et je n’en suis pas fâché. Je continue à m’entretenir. Si je pars en voyage, j’emporte la tyrosine à prendre chaque matin et mucuna au cas où…Mon régime se trouve perturbé mais sans conséquence, je marche du mieux que je peux en visite ou avant s’il y a du transport, j’évite les laitages et le gluten, comme à la maison.
Actuellement fin 2018, je n’ose pas écrire que je suis guéri, je dis « rémission », recouvré un vieillissement cellulaire à une vitesse « normale ». Mon médecin (très ouvert) voulait savoir où « nous en étions » et m’a envoyé chez un autre neurologue :
— Monsieur vous n’avez pas de maladie dégénérative !
Je dois vous dire qu’il a fait fi de mon régime…
Comme dit mon médecin traitant :
— Alors, nous avons tous rêvé ! J’ai donc avec satisfaction modifié la fin du scénario pour voir grandir mes petits-enfants.
Ma critique
Je suis persuadé que, dans bien des cas, comme le mien, il y a une destruction relative des cellules dopaminergiques qui occasionnent un manque de productivité de dopamine une des conséquences du système cellulaire qui est entravé par l’oxydatif, formant des plaques, les nutriments apportés par les microfaisceaux sanguins dans notre cerveau, sont de moindre qualité, les cellules, les mitochondries ne reçoivent plus leur nutrition qualitative de base. Depuis que j’ai compris ce mécanisme je prends soin de bien nourrir mon cerveau.
La plasticité de notre « chef d’orchestre » est connue, ce laboratoire en chimie, un des plus complet et complexes au monde. Si perturbé par manque, ou excès d’un ou plusieurs nutriments et, plus grave, par empoisonnement (pesticides ou hydrocarbures) ou par un stress permanent. Le cellulaire se meurt (apoptose). Je pense avoir stoppé toutes les causes (Officiellement n’existent pas ! excepté les pesticides, traitement de la vigne, seule reconnue maladie professionnelle). L’excès de consommation de calcium, de fer, sucre, sel, les molécules de Maillard (viande grillée) le gaz carbonique des boissons gazeuses, certains médicaments. Toutes ces substances qui finissent par passer la barrière encéphalique sur certaines personnes, mettent à mal le capital neurone- dopaminergique.
Pour mon cas, ne rien attendre de l’allopathie antiparkinsonienne pour le long terme, car basée essentiellement sur la stimulation forcée, stimulant des récepteurs non concernés (comme D 1), qui perturbe le système physique et scientifique intrinsèque du cerveau pour la transformation tyrosine- L‑Dopa- dopamine et sa diffusion naturelle.
Quand un neurologue annonce au patient que cette maladie ne se guérit pas, l’inconscient enregistre par un choc ce diagnostic. Une démission à s’auto-soigner par le corps est fixée. Une résignation qui nuit au sujet et l’empêche de se battre. Le patient accroit lui-même le mal. La volonté de s’en sortir parait aberrante puisque le spécialiste a dit « incurable »!!! J’ai eu cette réflexion d’une amie et plusieurs connaissances, j’ai contredit, mais je ne suis pas cru. C’est peine perdue… cette affirmation par un spécialiste prend le dessus, c’est donc irresponsable!!!
J’ai sans doute la chance d’avoir une force mentale et à mes côtés une épouse aussi battante que moi : ensemble nous avons réagi face à la médecine conventionnelle. Trois années sont passées, maintenant ils me croient.
Comment espérer un jour un médicament complet pour « guérir » le Parkinson si tous les spécialistes s’accordent pour affirmer que la MP est incurable ? C’est tendre la perche aux laboratoires pour qu’ils ne soient pas tenus au résultat de guérison…
L’espoir
Puisque j’ai constaté un retour à la normal de mon état, je suis donc persuadé depuis trois années avec ce régime, que cette « maladie Parkinson » — que je qualifie : dérèglement neurologique par déplétion-en-dopamine avec oxydation du cellulaire. Traitée à temps afin de stopper la mort des neurones concernés, agir sur les causes, compenser naturellement le manque de L‑dopa, elle n’est pas dégénérative ni incurable si on se donne les moyens d’une prévention claire.
Évidemment, cette logique ne profite pas au commerce pharmaceutique ni aux maisons de placement. Mais ça, c’est un autre sujet…
Cet Anthropologue décrit notre société avec détail et les conséquences qu'il entrevoit sont terribles. Je pense que pour se faire une opinion sur la situation il faut aller chercher l'information, la comparer et puis tirer ses propres conclusions. Ce blog fait partie de ceux qui sont le plus étayés.
je vous laisse juge!
https://jdmichel.blog.tdg.ch/
C'est effectivement un témoignage qui fait réfléchir.
Lorsque j'ai appris ma maladie, on m'a dit que c'était incurable et que seuls les médicaments pouvaient ralentir non pas la progression mais les tremblements.
par la suite, en lisant et m'informant un peu plus, je me suis rendu compte que le sport pouvait aider à gérer les tremblements. j'ai donc entamé 2 saisons sportives à outrance comme peuvent le faire les malades qui sont sous dopamine je suppose.
Ca m'a aidé un temps, les tremblements ont quasiment disparu mais la fatigue musculaire s'est installée et aujourd'hui encore les contractures sont présentes même si j'ai tout arrêté.
j'ai entamé un régime sans sucre qui selon des spécialistes aiderait les neurones à mieux travailler grâce aux cétones fabriqués par le foie. j'ai perdu 15KG et retrouvé une certaine forme, mais qu'en est-il de mes neurones?
J'en ai parlé avec ma neurologue de l'époque qui m'a écouté d'une oreille distraite et qui m'a seulement répondu qu'elle connaissait le principe pour soigner les épileptiques. Pour le reste aucune mise en garde, pas de recommandations n'y même un intérêt quelconque sur le retour d'expérience. j'avais pris des notes sur l'évolution des symptômes, tout était détaillé, mais cela ne l'a pas intéressé.
On se sent soutenu dans la démarche!!
Par la suite, je l'ai finalement quittée car lors d'un RV et après avoir eu quelques mots avec sa secrétaire, ce médecin voulait changer mon traitement qui n'était pas adapté compte tenu de mon attitude. cela faisait 8 mois qu'elle ne m'avait pas vu mais elle pouvait juger de mon état en moins de 2 minutes, je n'ai même pas eu le temps de m'asseoir, Elle ne voulait pas parler du problème mais était prête à foutre en l'air mon organisme par ouie dire, cela m'a conforté dans ses capacités d'écoute ce qui est à mon avis la qualité essentielle que devrait avoir cette spécialité, Pour info, c'est la même personne qui m'a annoncé ma maladie avec la même écoute !
Aujourd'hui je suis suivie par un neurologue qui part à la retraite avec une ordonnance renouvelée sur 1 an.
J'ai perdu la confiance de ces gens qui se disent soignant, qui n'ont que leur science dans la bouche, qui ne savent pas écouter. chaque symptôme décrit ils le connaissent, mais le vivent -il : cette lenteur dans les mouvements qui finit par vous épuiser, ne plus pouvoir mettre des boutons dans une boutonnière, marcher sans trébucher, parler sans bafouiller, des douleurs qu'ils ne peuvent pas soulager. Une fatigue qui me tombe dessus sans crier gare. ...
non ils ne le vivent pas, ne le ressentent pas, mais ils savent.... cela s'appelle-t-il de l'empathie, non j'appelle ça de
Exercices des membres supérieurs : les doigts
Voici quelques semaines, je suis allée dans un institut où j'ai fait une séance de sauna. J'y suis retournée quelques jours plus tard, et je me suis rendu compte que cette chaleur était bienfaisante pour ces contractures qui ne me quittent plus même la nuit (surtout) et que seuls les exercices me donnent l'illusion qu'elles sont moins douloureuses.
J'ai renouvelé l'expérience, mais cette fois-ci dans un but d'études pour savoir s'il y avait un réel cause à effet.
Le constat n'est pas miraculeux mais il donne tout de même à réfléchir. Je n'ai plus mal et me sens même revitalisée. J'aurai pensé que la chaleur allait me rammolir, mais c'est tout le contraîre. Je me sens vive, et je n'ai même pas pris garde que mes douleurs étaient moindre. Ca n'a pas duré, mais dans la tête les effets se sont fait ressentir plus longtemps parce que il y a du positif et cela fait longtemps que j'attends une étincelle qui me détourne de cette maladie.
Je ne sais pas si elle va étinceler longtemps, mais en attendant j'ai la chance d'avoir un homme à mes côtés plein de compréhension, attentif, aimant et "aidant" qui vient de m'offir pour noël un sauna infra rouge que je suis actuellement en train de découvir et qui me fait un bien fou!!
En attendant mon tour, dans la salle d'attente de l'hôpital, où j'avais RV avec le neurologue, un questionnaire était mis à disposition. En cochant les cases telles que prise de médicaments et l'addiction aux jeux ou achats compulsifs une case a éveillé ma curiosité et m'a fait réfléchir.
Faites vous preuve de générosité excessive ? La question m'a étonné mais ma réponse a été encore plus étonnante.
Car oui, sans m'en rendre compte, au fil des mois je viens de m'apercevoir que j'ai été très très (trop) généreuse avec des personnes que je connaissais à peine. Elles n'ont pas profité de moi, elles n'ont rien demandé, j'ai juste offert mes services, du matériel, de l'hébergement durant 15 jours, de l'argent et plus... mais c'est difficile à énumérer.
En résumé, j'ai fait la connaissance de ma voisine de 77 ans, et sans qu'elle me le demande je lui ai procuré du temps (courses, ménage, promenade etc...) du matériel (centrifugeuse, hachoir, sèche cheveux...) et de l'attention (je passe plus de temps chez elle désormais que chez moi). Pour moi, c'est une sorte d'échange entre génération. Je l'aide, participe à son confort, on papote, elle s'anime, et finalement elle sort, ce qu'elle ne faisait pratiquement plus, elle va chez le kiné ce qu'elle ne voulait plus faire. J'organise des repas familiaux avec ses enfants et les miens et mon mari. Mes enfants m'ont mis en garde et me font comprendre que je vais trop loin, ce que je n'avais pas vu jusqu'à présent.
Une autre petite histoire ; un soir pluvieux une dame d'une soixantaine d'années fait du stop. Mon époux et moi la prenons donc. Elle nous demande de la déposer dans un endroit où elle est sûre qu'on l'hébergera. Il n'en ai rien, et je lui propose de la dépanner un soir, puis 2 soirs et 15 jours se sont passés. Durant ce temps, je l'ai aidé, soutenu dans ses démarches, poussée dans ses retranchements pour qu'elle reprenne des contacts. C'est une personne sans domicile à qui j'ai fourni une adresse. Mes amis m'ont tous dit que j'avais tord d'imposer à ma famille cette situation.
Cette générosité s'est révélée d'autres façons comme prendre la défense de personnes qui ne le demandaient pas. Cela se fera au détriment de mon abonnement de fitness. Pour d'autres occasions, c'est rafraichir en tapissant et peignant le salon et salle à manger de ma belle soeur et de son mari. 1 semaine de vacances à tapisser les murs pour mon mari qui n'en n'a pas pris de vacances depuis longtemps.
Bien sûr, il y avait chez moi peut-être cette prédominance à aider, mais ces derniers temps elle est devenu obsédante et surtout excessive.
J'ai ai parlé lors de mon RV avec le neurologue qui ne connaissait pas ce trouble et qui m'a expliqué que la prise de conscience devrait m'aider à y remédier.
Que faire? Des engagements ont été pris, de l'aide a été donnée, et cette assistance ne se retire pas comme ça.
Il m'a suggéré de mettre des limites, voire de partir en cure afin de mettre de la distance.
Cela fait maintenant 1 an que j'ai développé ce que j'appelle des contractures musculaires situées entre les omoplates. Elles sont arrivées entre Noël et la nouvelle année. Terribles, douloureuses. Le médecin me prescrit des antalgiques, sans résultats. Des décontracturants, sans résultats également.
Finalement il diagnostique des contractures de repos. Les 4 derniers mois je faisais 1 à 2 heures par jour de sport. Il y avait du fitness, du fitball, de la marche nordique, du stretching, de la kiné avec du renforcement musculaire et du renforcement postural et du tennis. En plus de tout ça, je promenais ma chienne "Rafale" 3 à 4 fois par jour, selon le temps et l'humeur 15 à 20 minutes chaque sortie.
Il déclare donc que les muscles étant au repos, une sorte d'inflammation s'est installée et qu'elle partira lorsque j'aurai repris les activités. Ce fut pour partie vrai, car lorsque j'ai ces contractures et que je maintiens quand même les activités, je ne les sens plus en cours de réalisation, mais le retour de baton est là quand tout s'arrête. Les contractures ont entrainé une fragilité et durant les 6 mois qui ont suivi j'ai développé une tendinite du coude, de l'épaule et du grand fessier.
Alors là, ça a fait mal, très mal, parce que c'est arrivé quasiment en même temps.
Les kinés et médecins ne savaient plus que faire, entre les médicaments et les massages de leurs côtés, et l'utilisation d'huile essentielle d'arnica, de romarin camphré, d'eucalyptus citronné, de bouillotes et autres remèdes du mien, il a été difficile d'en venir à bout.
C'est en allant voir un mésothérapeute que je m'en suis sortie, en tout cas pour les tendinites parce que les contractures sont toujours présentes.
La mésothérapie consiste avec une aiguille à griffer la partie douloureuse. Dans la seringue il y a un décontractant, un antalgique et du magnésium, pour le reste c'est une question de technique et de savoir faire et surtout de confiance.
Il y avait pour ma part un peu de peur, mais le médecin a réussi à me rassurer et en 1 semaine les douleurs du coude et de l'épaule ont quasiment disparu. En ce qui concerne le grand fessier, cela est peu plus compliqué car il aurait fallu 2 séances mais montrer mes fesses a quelque peu entamé ma pudeur et je n'ai pas osé y retourner.
Aujourd'hui, les tendinites sont un lointain souvenir. J'ai réduit le sport à 3 séances par semaine d'1 heure.
Quant aux contractures elles me font toujours souffrir, tous les jours. Des exercices de posture, ainsi que le travail sur un ballon m'aident à les atténuer, mais toutes les nuits elles sont là.
Aucune position ne soulage, et c'est avec un élastique positionné autour de ma tête et accroché à ma tête de lit en fer ajourée que je parviens à étirer la tête, le cou et le haut des épaules. C'est une manoeuvre que j'ai visionnée sur you tube que j'ai adoptée.
Pour finir, mon neurologue a pour seule réponse sur mes douleurs, la prescription de séances de sophrologie??
Il n'a aucune aide à m'apporter, car ces contractures sont dues à la maladie selon lui donc il faut faire avec.
Quid de la gestion de la douleur???
Que nenni !
Faites de la sophro, ça soigne tous les maux.
PS ; Lire l'article sur la douleur du 17 janvier 2018